Fais donc ça !

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dimanche, 31 janvier 2010

13 banlieues qui redonnent espoir.

Oui un espoir pour la France...

Enfin surtout pour les films français. En effet je viens de voir "Banlieue 13" un vrai film à l'américaine. Des cascades, des combats, un duo flic/criminel repenti ... enfin tous les éléments qui font un film d'action réussi.

Et qui a produit ce film ? Luc Besson, vous savez le Français qui fait tout comme aux States, y compris une montagne de fric. À La réalisation Pierre Morel (pas le comique des Deschiens) il a travaillé sur "Le Transporteur" et "Danny the dog" il sait comment faire. Bon d'accord il a aussi travaillé sur "Arthur et les Minimoys" mais on ne va rien dire pour ne pas casser l'ambiance.

Le petit plus du film français, on montre des cités chaudes, et le ministre se propose de les transformer en parking, tel un petit arriviste de corporate aux dents longues.

Bref un film qui fait tout comme aux USA, même le méga happy end à la fin...

samedi, 23 janvier 2010

10 000 fois trop chiant.

Mais qu'est ce que c'est que ce film !!!

Un homme préhistorique montagnard, poursuit des barbares jusqu'en Egypte. Pourquoi ?

UNE GONZESSE !!!

C'est du grand n'importe quoi ce film. On ne dira rien quant à l'époque floue du film, admettons que ce soit une fiction. Mais à part 3 clampins qui marchent dans divers lieux, il n'y a pas grand chose.

On s'attend a des scènes de batailles impressionnantes ; on est déçu ; même la bataille finale mettant en scène les milliers d'esclaves est ratée.

Puis à la fin, le film sort un peu la tête de l'eau avec une fin inhabituelle, la jeune femme que le héros poursuit depuis le début décède malencontreusement d'une flèche plantée dans le coeur. Là, enfin un passage réaliste qui montre aux jeunes que parfois dans la vie, on poursuit quelque chose, et quand on est près de l'avoir quelqu'un vous le prend juste sous le nez.

Une morale tragique, mais ô combien réaliste en ces temps de crise.

Mais encore une fois le happy end est au rendez vous, car avec une pirouette que je ne qualifierai pas d'habile, encore moins de subtile, mais plutôt de capilotractée (comprenez tirée par les cheveux), l'héroïne se relève et rentre avec son chevelu dans sa contrée lointaine...

Le producteur aurait dû tourner 10000 fois le stylo dans sa bouche avant de signer pour un tel film...

vendredi, 8 janvier 2010

Avatar, les verts sont bleus

Un film de science fiction oui, mais avant tout un film avec un message écolo.

Petit mot sur l'histoire : En 2150 la Terre est complètement ruinée, il n'y a plus de ressources. Les hommes décident donc d'envoyer une expédition sur Pandora, pour y extraire du minerai. Le seul problème c'est que cette planète est habitée...

Habitée par des créatures bleues, qui vivent en symbiose avec la nature. Le parti est pris de montrer les indigènes comme les gentils, et on se trouve à penser comme eux qu'il faut préserver la nature. Puis on reprend sa voiture et on passe au Mac Donald acheter un bon burger avant de rentrer chez soi.

Et pourtant tout n'est pas perdu, car le héros nous montre que l'on peut nous aussi passer d'un état d'handicapé pollueur, au stade d'écolo agile et averti, et cela pas uniquement pour se taper la fille du chef de clan...

vendredi, 18 décembre 2009

Super Grave

Voila un film qui porte bien son nom.

On aurait aussi pu l'appeler super nul !!

On y retrouve le trio classique des teen movies, un gars timide et romantique, un obsédé sexuel, et un stupide.

Et je pense que pour apprécier ce film, il faut être dans une des deux dernières catégories.

Je ne vous raconterai pas la fin, car au bout d'une demie heure j'ai arrêté le film, sans même savoir si un des trois arrive à avoir une relation sexuelle. Le film n'est qu'une succecion de clichés, accumulés par un petit gros qui tente d'imiter Cartman, mais qui n'y arrive jamais.

Il ne suffit pas de dire bite, poil et couille pour être drôle, ou alors il faut le faire avec classse et aplomb sinon on a vite fait de confondre ça avec un syndrome de La Tourette.

Une autre explication sera que je deviens vieux et les teens movies ne me font plus rire. Je vais donc me trouver devant les films pour ados comme l'homme d'église parmi les nichons du film "Mon curé chez les nudistes"...

vendredi, 4 décembre 2009

Lune de fiel. Gardez Polanski en prison

Alors que l'affaire Roman Polanski est d'actualité, avec sa libération sous caution, il y a ses film sur la TNT et croyez moi, ils ne plaident pas en sa faveur.

Je vous résume en deux mots son film Lune de fiel, dans ce film un vieux pervers raconte à un garcon de bonne famille ses ébats avec sa femme beaucoup plus jeune que lui.

Dans la première partie, c'est agréable ils ne pensent qu'a forniquer, dans toutes les positions et avec toutes les perversions. On s'étone même de voir que ce film n'est interdit qu'aux moins de 10 ans. Les censeurs voulaient imposer une interdiction aux moins de 16 ans mais cela aurait posé problème, la compagne de Polanski n'aurait pas pu venir à l'avant-première.

Et pour reprendre, la conclusion de la mésaventure de mon ami Paul, arrêté pour avoir uriné sur la piste du slalom géant de Chamonix : Paul en ski en prison.

jeudi, 26 novembre 2009

Idiocracie

Ah quel bonheur de se faire conseiller des films par des collègues de travail.

Le dernier en date : Idiocratie

Un film qui part du principe que les idiots font plus de gosses que les intellos.

Ce n'est quand même pas ma faute si Paris Hilton est stupide et aussi dépravée. Et si Maïté, avec son QI de 170, n'est pas très attirante quand elle assomme une anguille avec un marteau en bois.

Dans le film, il choisissent un militaire de base, et une prostituée pour les congeler, durant un an. Mais comme rien ne se passe comme prévu, sinon il n'y aurait pas de film, ils restent en fait congelés 500 ans.

Ils se retrouvent avec les descendants les plus idiots, triés sur le volet par croisement. Et on se retrouve avec comme couple le plus intelligent de la terre : un militaire et une pute.

C'est dire le niveau ! L'émission préférée dans cette époque futuriste c'est "Oh mes boules" une sorte de Jackass qui se fait frapper dans les testicules. Et ça fait rire tout le monde. Cauet a de l'avenir...

Ce film nous montre à quel point on peut se sentir exclu, quand on discute avec des incultes attardés. Une fois que vous l'aurez vu, vous comprendrez mieux mon désarroi quand je parle avec vous...

dimanche, 27 septembre 2009

Bloody Malory, paranormal au rabais

L'histoire sur la jaquette était prometteuse : Mallory, découvre après son mariage que son mari est un démon. Elle le tue et devient chasseuse de démons et autres êtres paranormaux.

Découvrir que son mari est un démon ou sa femme une succube ; et cela seulement après le mariage ; quelle histoire classique.

Mais ce n'est qu'une fois que le générique de début est lancé que l'on sent que ça va mal tourner. En effet la région Ile-de-France est partenaire de ce film.

Le film s'ouvre sur une femme en robe de mariée qui court sur une route dans une nuit sans Lune. Elle s'appelle Malory. Elle est poursuivie par son mari, le démon que l'on nous a promi. Mais déjà là la déception est au rendez vous, au lieu de voir un grand gars musclé à la peau rouge vif, avec des cornes et une fourche, on voit un petit homme du style gentil fonctionnaire, MAIS avec des yeux rouges. Pour que l'on comprenne son côté maléfique.

Puis au bout d'une minute où on les voit marcher l'un puis l'autre, elle surgit derrière le pseudo démon avec une hache, qu'elle a trouvé on ne sait où, et décapite son mari. Du moins c'est ce qu'on en déduit car rien n'est montré à l'écran.

Immédiatement après on retrouve Mallory, les cheveux rouge sang au volant d'une voiture dont la décoration en peau d'animaux ferait pâlir d'envie un fan de tunning.

Elle n'est plus la jeune mariée, elle est la tueuse de démons. Elle est accompagnée par une dragqueen spécialiste en explosifs, une gamine muette télépathe affublée de cheveux bleus, et de l'inspecteur machin, qui est sensé les surveiller et donner un cadre légal à cette brigade du paranormal.

Je vous passe la première scène de combat, lorsque la petite troupe combat des goules qui attaquent des bonnes soeurs dans un couvent, (pour se reproduire ou les manger ; on dirait un scénario Marc Dorcel).

Ce combat ressemblait à une imitation de la série Buffy adapté par un pays du tiers monde. Du grand n'importe quoi où la spécialiste en explosifs se bat au nunchaku, et la télépathe fait se taper la tête contre les murs aux goules.

Bref un film qui n'a pas tenu ses promesses, et n'a pas tenu un quart d'heure sur mon écran...

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